Les perspectives semblent évoluer d'une institution de renom à une autre. La seule constante demeurera fort probablement une difficulté de prévoir à long terme.
La donnée qui demeure encourageante demeure une économie mondiale qui sera en croissance, bien que faible. Avouons que plusieurs imaginaient le pire et avec raison.
L'enjeu qui se dessine, me semble-t-il, est davantage un climat social plus tendu et qui laissera place à davantage de réactions imprévisibles et aux tentations de solutions magiques. En bref, une époque laissant encore plus la place aux croyances qu'à une réflexion rationnelle des enjeux.
Dans un second ordre d'idées, l'Histoire nous a démontré que les périodes de paix entre les nations finissent toujours par s'estomper. Les instigateurs de la mise en place de la Société des Nations pourraient nous parler des rêves qui les animaient après la Première guerre mondiale.
Avons-nous vraiment appris ?
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